vendredi 23 décembre 2016

Magie de Noël - La chaîne de Franca Gagliardi

le symbole de la crèche


L’être humain est formé de plusieurs mondes internes invisibles mais réels, réel que la perception inconsciente peut comprendre
. la création de la vie humaine se fait par trois entités :
 l’inconscient du père, l’inconscient de la mère et celui de la graine – la graine est une entité externe qui sera fécondée par deux âmes.
La crèche représente le temple, l’univers de l’être, c’est le point du bassin , jusqu’au qui est le Pan créateur
La crèche est la création c’est la maison d’un fils qui va au gré du cycle de son âme réveillé ses trois entités , pour naître comme le divine enfant – l’Enfant Dieu 
Voilà pourquoi le symbole de la crèche est important , il est le signe de cet esprit qui va s’incarner en Homme 
Renier la crèche c’est renier qui l’on est , 
Rien est religieux tout est spirituel
voir article le Génie Invisible 




Texte Magie de Noël

Noël , fêtons ce jour
Jour où tout est possible
Jour des enfants
Jour des plus grands
Jour où ce mêle le cœur d’amour,
des petits et des grands
Des grands qui retrouvent leur cœur d’enfant
Cet enfant qui est vivant
Dans chaque cœur des grands
Laissez exprimer en cet instant
Ce cœur d’enfant pur qui ne demande
De partager ce merveilleux moments
Ce cœur d’enfant caché au fond des plus grands
Par une onde magique
Embellira chaque grands enfants
D’un sourire , un souvenir d’amour
La magie de noël se diffuse alors
Dans chaque Etre
Le monde en colère et rempli de peines et de guerre fera place à la magie de noël qui est porteuse d’amour, de paix ,
Partageons cette magie de noël sur toute la terre
Inondons cette vague d’amour issue de nos cœurs d’enfants et diffusons pour ce une énergie de paix , d’amour et de tolérance
La magie de noël si nous l’acceptons , nous pouvons la prolonger
Pour toute l’année, et des vies éternelles
Resplendit O ! onde magicienne inonde le monde
Apporte une flamme d’amour  à tous nos proches disparus
Par la flamme d’amour en nos cœurs , magicienne n’éteinds pas l’espoir d’un monde meilleur
en chacun de nous et autour de nous
Flamme de vie , flamme d’amour magie de noël installe toi pour toujours en nous 
Que l'étoile de la nativité 
Nous guide chaque jour 
Dans l'amour , coeur magique  qui est notre crèche 
réchauffe nos coeurs comme l'enfant symbolique 
Divine enfant , tu es venu parmi les Hommes 
Divine enfant qui est mon âme divine 
celle qui brille la magie de noël 
alors fêtons tous cette magie de noël 
qui n'est d'autre que notre enfant
né dans une grotte , grotte qui est notre corps physique 
sauvons ce divin enfant 
sauvons ensemble notre divin enfant 
pour qu'il puisse vivre pour l'éternité 
dans l'univers d'amour 
brille dans l'univers et sur la terre 
pour perpétrer la clarté de Dieu 
Magie de Noël brille des milles soleils .


Magie de Noël - @Franca Gagliardi - 10 décembre 2015


mercredi 9 novembre 2016

Concept Horizon: Métaphore - Le pont du présent

Concept Horizon: Métaphore - Le pont du présent: Une métaphore que j'ai créé dans l'inspiration d'une réflexion personnelle et que j'ai inséré dans une séance d'hypnose ...

Métaphore - Le pont du présent

Une métaphore que j'ai créé dans l'inspiration d'une réflexion personnelle et que j'ai inséré dans une séance d'hypnose



il y a un pont où je suis et qui traverse la rivière ,
 cette rivière qui transporte au fil des ans tous mes souvenirs , 
les bons et les mauvais ,
 devant moi des peupliers c'est le futur qui m'attends
 et derrière moi c'est mon passé que j'ai laissé 
et moi je suis là à regarder le flux de l'eau qui me retiens dans mes pensées des mémoires du passé que je dois oublier ,
 pour vivre en cet instant présent sur le pont qui m'amène doucement vers l'avant ,
 l'avenir le futur que je crée ici et maintenant 
laissant ce qui est barrière du passé 
et m'élever comme ces peupliers vers un horizon plus haut toujours plus haut pour toucher le ciel
 où brille le soleil et la nuit tombée la lune me garde et me m'inspire dans ma destinée


 - Franca Gagliardi

mardi 8 novembre 2016

Concept Horizon: La violence physique et psychique

Concept Horizon: La violence physique et psychique: Pourquoi la violence ? Lorsque la personne inflige une action violente envers un autre individu, il y a quelque chose Au fil du tem...

La violence physique et psychique



Pourquoi la violence ?
Lorsque la personne inflige une action violente envers un autre individu, il y a quelque chose
Au fil du temps sur le chemin parcouru de cette expérience, qu’est-ce que l’amour ?
L’amour ne se mesure pas en actions, l’amour est un état invisible et toutes violences commencent par une vision erronée qui est ancrée dans notre inconscient.
Ceci par, des fausses croyances, enfouies et qui pousse le sujet à réagir sur un comportement violent.
Qu’est-ce qui pousse un sujet à se comporter de manière violente sur autrui, mais aussi sur lui ?
Qu’est ce qui a été fécondé dans son enfance pour le pousser à agir de cette manière ?
Quelle est ce fusible qui doit être identifié et changé pour que le comportement de la personne devienne passif ?
Qu’est ce qui fait que cette violence passive et active amène les individus à vouloir mesurer cet acte qui a cette origine méconnue dans ses mémoires ?
Quel est le moyen d’y remédier ?
Cette fausse idée que l’acte violent est mesurable et spécifique à de l’amour, l’acte violent est-il mesurable à la force ?
Se donner les moyens la capacité, de commettre cet acte violent ?
Quelle est ce quotient d’intelligence émotionnelle qui pousse à être violent, à détruire, à s’auto détruire ?
Le sujet violent mesure sa force selon son échelle de faiblesse, plus il est faible plus il accroît la violence
L’amour se mesure sur une échelle de 0 à 10, le sujet peut frapper un enfant ou une femme, car dans sa croyance erronée, aimer est une expression alors qui devient violence mesurable selon l’échelle de l’amour.
L’amour est relié à la force de la faiblesse qui va donner les impulsions à agir
La personne violente est consciente de son acte et souffre car elle ne peut contenir cette action violente mais dans sa croyance enfouie et erronée elle est guidée dans un comportement violent qui détermine sa personnalité extérieure.
Alors cette violence est d’origine d’une croyance ancrée au plus profond de son inconscient et qui par ses filtres va transformer cette faiblesse externe du comportement à un flux d’énergie violent par l’hormone de la violence qui va transformer son organisme et son corps en une machine monstrueuse qui peut tuer.
Mais l’échelle peut s’inverser par un comportement passif la personne croit que par le dénie, cette maltraitance psychologique infligée à son partenaire devient aussi une machine plus insidieuse qui va consumer la victime et la détruire mortellement.
De ce fait, l’équilibre, des croyances est un chemin obligatoire, mais quelle croyance est juste ?
Qu’est ce qui fait que cette vérité sera plus juste que l’autre vérité ?
Est-elle mesurable et spécifique pour déterminer un changement de croyances et de valeur?

L’amour est censé faire du mal, mesurer l’amour en fonction de la douleur que l’autre supportait
Ce sont en fait des croyances que notre subconscient a accumulé sous forme d’informations au cours de notre vie et qu’il scanne à chaque fois que nous devons interagir avec notre environnement.
A partir d’éléments collectés, une partie de nous va établir des stratégies qui seront réutilisées à chaque fois qu’une situation perçue comme similaire se reproduira.
Scanner son socle de croyances et de valeurs non choisies qui déclenche cette pulsion d’agir.
C’est une bouilloire, un conflit entre son désir conscient peut être de renoncer et cette pulsion inconsciente qui est issue des profondeurs de sa mémoire.
En fait c’est un conflit intra psychique de souffrance personnelle et aussi de la souffrance infligée à son environnement.
C’est un conflit intra psychique qui rend malheureux, d’amertume, agressif, addictif …
Ces croyances et ces valeurs, un programme installé dans l’enfance.
On appelle cela la plasticité
Cette plasticité cérébrale qui peut être une grande possibilité ou une grande vulnérabilité pour l’enfant et déterminant ce qu’il devient lorsque il  est adulte.
Alors que l’enfant est un maître de la communication, son inconscient va stocker les mémoires les plus utilisé et élaguer ce qui n’est pas utile.
Et si on compare à l’acte de la violence, elle devient une croyance erronée, infligée par amour par l’adulte à l’enfant.
©Franca Gagliardi




vendredi 28 octobre 2016

formation stress, gestion du stress


Je viens de faire une formation très utile

le contenu:


Définitions
 Le stress au travail
 Les facteurs de stress
 Manifestations biologiques du stress
 Gestion du stress
 Psychométrie et textes
 Test Final


samedi 22 octobre 2016

La PNL & l’Hypnose chez l’enfant et l’adolescent





Introduction

Des personnes m’ont demandé s’il était possible d’accompagner les enfants par les techniques de la PNL et de l’hypnose.
Oui, il est possible d’accompagner les enfants et les ados par de la PNL et de l’hypnose.
Mais nous ne pouvons pas faire une généralité des ressources de la PNL et de l’hypnose. Chacun est unique et a sa propre sensibilité.
Bien entendu, ces séances ne se substituent pas à un suivi spécialiste en psychologie de l’enfant ou encore de pédopsychiatrie.
Le praticien en PNL va étudier et percevoir les filtres chez l’enfant, mais le plan général sera établit pas les spécialistes de l’enfance.
Après cette introduction on peut dire :
De manière générale, on considère que les enfants en dessous de six ans sont constamment en transe. Leur imaginaire est plus présent que chez l’adulte. Et les barrières du conscient sont inexistantes. Ce qui favorise normalement un apprentissage aisé pour l’enfant.
Il est donc évident que la vigilance autour de l’enfant sur la communication est très importante.
En premier temps, il est à souligner que les meilleurs praticiens en hypnose sont les parents.
Si il y a des problématiques chez l’enfant, cela va s’en dire que l’apprentissage en premier lieu se fera sur les parents et identifier les causes de la problématique.
Le praticien va faire une sorte de mapping pour identifier ces causes, en fonction de l’environnement, les comportements de chacun des parents, leur langage, les croyances et les valeurs et leur facteur identitaire. Et comment l’enfant évolue dans ce contexte ; le contact familiale, la relation les parents, la fratrie. Donc, tout ce qui est la notion de vie de l’enfant. Comment il perçoit tout ceci dans son ensemble systémique.
En deuxième temps, connaître la volonté de l’enfant. C’est-à-dire, si l’enfant est consentant à cet accompagnement et travailler sur quelque chose de spécifique à sa problématique. Le processus sera idem pour l’ado.
Toute suggestion chez l’enfant, sa réactivité est très rapide. Le processus entre le créatif ou l’imaginaire et l’analytique se fait instantanément. Cela pourra étonner certains praticiens qui n’ont pas l’habitude de travailler avec les enfants et qui travaillent le plus souvent avec les adultes.
Les applications en PNL et ou en hypnose, seront satisfaisantes, car l’enfant à cette grande capacité imaginaire et c’est comme si il était en suggestion directe permanente. Les suggestions et l’impact des mots ont une grande influence chez l’enfant. Cela est vérifiable dans sa notion de vie quotidienne relation parent/enfant, enseignant/enfant, d’où la nécessité d’être vigilant dans son éducation. Si on lui rabâche qu’il est nul il sera nul, si il n’a pas compris adaptez-vous à sa perception, un enfant comprend tout mais c’est à l’adulte de se mettre au niveau de l’enfant. Il a d’énormes ressources inexploitées et se serait dommage de les lui cacher.
Donc, le pouvoir de réaction à la demande faite par le praticien sera presque instantané si celle-ci se fait dans le cadre d’une bonne introduction d’observation, d’étude de la perception, ses prédicats en établissant un rapport et de synchronicité autour de la sensibilité et du langage de l’enfant.
Exemple : si l’enfant est kinesthésique et si la communication et les suggestions se font de manière auditive, l’enfant ne comprendra et ne captera le message suggestif, donc le retour sera nul.
La séance avec l’enfant doit se faire avec son consentement. Si l’enfant n’a pas envie d’être là. Il y aura blocage.
Il est important aussi de souligner que la séance sera faite en présence seule de l’enfant.
La présence des parents peut être un obstacle pour l’enfant et pour les parents surtout peut amener à des constations amères selon que l’enfant exprime son ressenti. Ses révélations peuvent activer des émotions chez les parents.
L’approche avec l’enfant doit se faire en lui expliquant les choses de manière simple. Lui expliquer qu’il y a une partie de son cerveau qui est créatif/ imaginaire et l’autre partie rationnel et analytique.
L’enfant est constamment en transe et que les suggestions ne sont pas arrêtés par son conscient.
Il est essentiel tout d’abord de faire un travail en amont. D’écouter sa problématique, s’adapter à son langage, l’étudier. Et par la suite, lui proposer des suggestions que l’enfant attend selon son cadre de référence.
La même procédure pour l’ado. Exemple :
Si l’ado a des difficultés pour obtenir des résultats sur ses objectifs fixés et que cela lui semble impossible à réaliser, l’aider à se projeter dans ses capacités et lui faire découvrir ses ressources. Il va comprendre qu’il y a des étapes à franchir et que telle ressource va l’aider à passer à l’étape suivante. Et cela fait partie de son évolution future.
Conclusion
Observer sa sémantique, étudier sa personnalité et filtrer au niveau du praticien ses problématiques et ses possibilités.
Cela n’a rien à voir avec un accompagnement d’un spécialiste de l’enfance et ne substitue pas à sa fonction.
L’enfant a cette capacité d’intégrer plus rapidement qu’un adulte et les séances seront moins longues que chez une personne.
Il est important que les parents s’adaptent au langage et la personnalité de l’enfant. Pour que l’enfant capte les suggestions faites de ses parents. (Idem pour les enseignants).
Sa sémantique ne peut être la même que chez son père ou sa mère qui eux même peuvent être différents.
L’apprentissage, alors devient nécessaire chez les parents, pour que la communication entre parents et parents et enfant soit parfaite synchronie. Cela évite bien des tensions et d’incompréhension et des problèmes autour de la notion de vie de l’enfant.

Franca Gagliardi

mardi 18 octobre 2016

La PNL a le pouvoir d’Accompagner les personnes atteintes de types démence, maladie Alzheimer et ses résultats sont positifs

La PNL a le pouvoir d’Accompagner les personnes atteintes de types démence, maladie Alzheimer et ses résultats sont positifs


l'histoire de Maria

Ce que je vais vous raconter est un vécu, une expérience, une belle leçon que j’ai eu auprès de Maria.
La vie d’une femme saine qui tout a basculé quand la goutte d’eau a fait déborder le vase.
C’est l’histoire d’une femme de 85 ans, qui a connu une grande dépression.
Suite à de nombreux gros traumatismes, qu’elle a subit dans sa vie
Elle s’appelait Maria. Elle est née un beau jour du mois de mai, dans une ferme dans un village du Latium en Italie. Dès sa naissance, sa mère la retrouva un jour délangée, nue!
Elle a été élevée par sa grand-mère. Son père gérait une exploitation agricole et sa mère s’occupait des poules, de la cuisine.
Cette petite Maria, était très intelligente mentalement et émotionnellement. Elle était douée pour les études. Elle allait à la broderie chez les sœurs. Sa Grand-mère lui a appris les plus belles choses que la nature peut nous offrir. Elle savait toutes les plantes, elle jardinait avec les cycles de la lune et des saisons. Elle savait les qualités de la terre pour telle plantation. Et elle savait utiliser les plantes médicinales.
Son père ne lui permit pas de faire des études. Elle aurait bien voulu continuer ses études. Elle aurait un statut social différent.
Son père dès l’âge de 8 ans l’envoya accompagner les ouvrières aux champs, elle devait les contrôler et elle devait elle aussi prendre la pioche, la pelle, semer, récolter, au temps des moissons, elle battait le grain, elle devait aller chercher le bois. Porter des charges sur sa tête et marcher pendant des kilomètres.
Un jour, elle fut investi par une charrette remplit de stères de bois, qui lui roula dessus le dos. Et malgré cela, elle allait travailler. Sa grand-mère la soigna par les plantes et le reboutement.
Son père lui achetât un âne, (Maria n’était pas attirée par les animaux) mais elle avait une grande complicité avec son âne (je ne me souviens plus de son nom). Il était de couleur blanc et gris.
Elle aimait beaucoup son père, même si celui-ci était très sévère et jaloux avec elle et qui par sa culture méridionale n’a pas compris que sa fille avait d’énormes ressources.
A 18 ans elle se mariait (son père était contre ce mariage, il savait que sa fille serait malheureuse), malgré que ces jeunes s’aimaient. Maria n’a pas eu la vie facile. Sa belle-sœur qui n’acceptait pas que son frère eut choisi Maria. Elle voulait que son frère épouse son amie.
Et elle va lui mener la vie dure :
Les époux avaient loué une chambre et vivaient chez les parents de son mari.
Maria fournissait tous les produits de la ferme. Et stockait ce qui devait être pour l’hiver.
Son mari travaillait comme maçon à Rome et revenait le samedi au pays. Une des différences entre entre les époux. Lui a eu la chance d’aller jusqu’au collège et n’avait pas envie de faire des études. Et par contre Maria aurait voulu poursuivre ses études. Elle était très instruite.
Alors, un jour après sa journée de travail, Maria retourna dans sa chambre. Elle était fatiguée et attendait son premier bébé.
Elle rentra dans la pièce elle vit son armoire ouverte, et à sa stupeur tout son trousseau que sa grand-mère paternel lui avait brodé, avait disparu d’autres tissus étaient enroulés et déchirés en lambeau.
Elle partit se confier à sa grand-mère, qui est aussitôt intervenue auprès de la mère  de son mari. Le trousseau a été restitué et bien entendu la personne qui avait fait ce mauvais coup était sa belle-sœur qui avait exigé la clé de la chambre des époux. (petite anecdote, le trousseau a été volé pendant la guerre, et une dizaine d’année plus tard, une taie d’oreiller et un drap est revenu comme par enchantement dans les mains de Maria. Tout était brodé avec ses initiales M. I.
Lorsque le samedi arriva, son mari de retour de Rome, sa sœur lui confia que sa femme, la grand-mère de Maria et sa mère l’ont traité de voleuse et lui ont interdit d’approcher de la chambre des jeunes époux, mais celle ci n’en avait que faire des interdictions.
Hélas ! Scène de ménage et Maria subit des maltraitances de la part de son mari à cause d’une manipulatrice perverse.
Il eut plein d’épisodes de ce genre, mais Maria ne pouvait se confier qu’à sa grand-mère paternelle. Car son père était défavorable à ce mariage.
Une autre fois, Maria n’avait plus de chaussures et elle était enceinte et travaillait, alors pendant que sa belle-sœur allait se promener au marché avec ses amies, elle lui demanda de lui acheter des chaussures. Bien entendu Maria lui donna de l’argent.
Mais Maria n’a jamais eu ses chaussures.
Et puis le destin, a voulu que son frère âgé de 12 ans et sa grand-mère décède. Le monde s’écroulait pour Maria, car ses deux piliers avaient disparu et sa tante paternel qui avait une grande affection pour Maria, qu’elle considérait comme sa fille, était partie aux USA.
Elle continua à travailler à la ferme, mais à la maison il n’y avait pas à manger. Tout ce qu’elle ramenait sa belle-sœur, lui volait.
La guerre éclata, son père fut déporter en Sicile. Et il laissa sa femme avec 7 enfants.
Son mari était engagé dans le génie, il s’occupait du pont et faisait traverser les gens sur le fleuve du Garigliano. Il travaillait aussi aux cuisines chez les américains et rassasiait le groupe de villageois.
Les allemands avaient tout emporté des richesses de la ferme. Il n’y avait plus de bétails, de poules, d’huile d’olive, de vin, de farine etc. etc. etc…
Les gens vivaient dans les grottes dans les montagnes.  Pour fuir les bombardements.
Et pour la deuxième fois le père de Maria fut déporté. (Il s’était évadé de la Sicile). Et Maria aussi, ils les ont placés dans le train direction la Russie.
Elle portait sa fille dans ses bras et elle était enceinte de son deuxième enfant.
Arrivés à Priverno, un miracle s’est produit. Le train était tombé en panne, les allemands ne pensèrent plus aux prisonniers, et ceux-ci se sont échappés.
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Ils ont marché pendant des kilomètres pour atteindre la montagne.
Ils se réfugiaient dans les bergeries, ou des grottes. Et réussir à revenir dans leur village.
Une chance, pour ces gens, pour Maria, quelle force , cette femme, enceinte avec une petite fille et qui escaladait la montagne, elle a marché pendant environ 80 km.
Cette réaction émotionnelle, qui l’aida, son instinct de survie, cette peur si on peut dire bénéfique, et pour protéger son enfant et son bébé.
Beaucoup de témoignages de cette guerre, Maria s’étaient confiées à un journaliste qui récoltait les témoignages de la population pendant la deuxième guerre mondiale. Notamment la fameuse bataille de Monte Cassino et le Garigliano (la ligne Gustav).
Puis la guerre finit, des êtres chers sont partis. Alors, son père un matin emmena les femmes au champ, dans une charrette tiré par des bœufs. Et malheureusement, jour fatidique, ils sautèrent sur une mine.
Les cousines de Maria sont mortes sur le coup ainsi que les bœufs (un nom me vient en mémoire : Capirossa).
Son père décéda quelques jours après son hospitalisation. Mutilé d’une jambe par une gangrène.
Maria l’a accompagné et elle était de nouveau enceinte dans ce moment tragique.
Ce fut un choc, une souffrance tout au long de sa vie.
Au dernier mois de son départ, elle n’avait pas fait le deuil de son père. Revivant les instants tragiques auprès de lui.
Alors son mari, décida d’émigrer au Brésil, il travaillait comme maçon car son métier était très recherché (la tyrolienne).
Lorsque il  fut bien établit, il fit venir Maria avec ses trois enfants.
Ils étaient bien installés.
Et Maria pris en gérance un snack. Elle vendait des cigarettes, des boissons et faisait à manger pour les ouvriers de la Pirelli, le snack était ouvert 24/24 heures.
En quelques mois elle avait remboursé le propriétaire et était propriétaire du lieu.
Ils avaient une petite villa, et son mari avait même acheté deux terrains (un des terrains fut emporté par un orage et transformé en lac).
Maria travaillait dans son snack, et soignait les lépreux qui venaient de la forêt Mato Grosso.
Elle appliquait une pommade que sa grand-mère lui avait apprise, et leur faisait des injections.
Son frère l’avait rejoint avec sa femme.
Maria était enceinte de jumeaux, mais elle a fait une fausse couche. Encore un coup dur de voir ses bébés mourir.
Et puis son mari, a pris la fièvre jaune, alors ils sont rentrés au pays.
Il y a encore un lit au grenier d’origine brésilienne, toutes les autres choses ont été dérobées. Encore un coup pour Maria qui aimait conserver les choses en bon état. Fruit de son labeur.
Mais la tourmente n’était pas fini, son frère qui était au Brésil avec elle s’en était retourné. Et un matin en allant récupéré le fer des bombes empreinte de la guerre.
Il marcha sur une mine, il fut projeter et déchiqueter. Maria dut récupérer tous ses membres, quel choc pour elle de voir son frère démembrer. Quel courage Maria que de récolter son frère en pièces!
Et ce traumatisme la suivra toute sa vie se visualisant ramasser les membres de son frère.
Elle avait trouvé un travail, malgré qu’elle ait à son retour des aides d’installation et une maison à Latina. Elle n’a cessé de travailler et elle aimait la terre, la nature et les plantes, c’était son domaine. Aujourd’hui, la mode est à la permaculture, mais Maria travaillait depuis longtemps de cette manière, un savoir hérité par son père.
Elle a préféré resté auprès de sa mère et de ses frères et sœurs. Mais habitait chez ses beaux-parents. Avec l’aide financière du retour et la perte du trousseau que l’état italien lui donna, elle avait un objectif acheté un terrain au bord de la mer.
5000 mètres carrés et construire sa maison. Son objectif fut anéantit, sa belle-mère se lamentait auprès de son fils, qu’elle allait le perdre, si il habitait à 8 km d’elle. (Drôle d’argument).
Maria n’a pas pu aboutir à son projet, car son beau-père, qui était parti avec un groupe de villageois ramasser les éclats de bombes, furent arrêtés.
Tout le groupe fut remis en liberté après que les familles eurent versées une caution. Pour son beau-père, il pouvait rester là où il était.
Alors Maria qui aimait beaucoup son beau-père qui était juste et respectable, paya sa caution et il fut libéré. Adieu beau projet pour Maria, elle avait un sens des affaires !!! Aujourd’hui, plusieurs bâtiments sont construits sur cette zone balnéaire.
Son beau-père, qui était juste et respectable et honnête, des origines nobles et riches par son père et sa mère – (à contrario de sa fille), décida de lui vendre sa maison et son terrain, sachant qu’il ne pouvait pas rembourser sa dette envers sa belle-fille.
Le beau père a pu avoir sa pension de guerre et a été fait chevalier de l’ordre de Vénétie, décoré de la médaille d’or et de la croix. Plus une prime. C’était Maria qui a fait toutes les démarches à Rome, et cela lui a valu encore une fois une grosse dispute. Car le vieux n’a pas vu sa prime qui a été subtilisée par sa fille. Mais pour les villageois et la famille, c’était Maria qui a été traitée de voleuse et d’autres choses encore.
Le notaire fit un acte de vente et Maria était propriétaire de cette maison. Son beau-père savait que jamais, sa belle-fille les délogerait et désapprouvait totalement le comportement de sa femme et de sa fille à son égard.



De ses belles sœurs aussi (des vieilles sorcières)
Mais Maria ne se douta pas de tous les problèmes engendrés par cette acquisition.
Son mari qui travaillait à Latina, toujours dans sa spécialisation très recherchée à son époque.
De retour, sa sœur lui référait que Maria avait volé les biens, et que tout était mis à son nom. Et pauvre Maria après avoir reçu des coups, avec un nez fracassé et perdit son bébé, elle fut contrainte de donner 50 % de la propriété à son mari.
Cette femme a souffert toute sa vie, maltraitance physique et morale, de la part de son mari, de l’autorité de son père, de ces femmes pernicieuses dont étaient sa belle-sœur et sa belle-mère. Ceux qui l’a protégeaient sont décédés et sa tante qui la considérait comme sa fille vivait aux USA.  Elle lui envoyait des paquets, et Maria de ses robes confectionnait des habits pour ses enfants. le reste sa belle sœur lui dérobait et le vendait.
Maria n’a pas reçu l’amour parental, ni même par la suite.
Elle allait aux champs ramasser l’ail, puis le tresser pour qu’il soit expédié aux USA (grâce à ces années, elle put avoir une petite retraite, car surprise pour elle, les autres, ainsi que son père avaient négligés de la déclarée), ces enfants allaient à l’école, et quand il rentrait, tout ce que Maria ramenait, il n’y avait rien pour ses enfants que du pain dur.
Tandis que les enfants, le mari et la belle-sœur avait la belle vie avec les sueurs de Maria. Alors les petits, montaient à la vigne, et voyaient que leur oncle qui avait leur âge, avait une table dressée, et que la mère de Maria lui servait un œuf frit.
Hélas ! La veuve ne pouvait pas chaque jour, satisfaire la faim de ses petits-enfants. (Que la veuve et ses enfants émigrèrent pour le Canada. Un autre coup dur pour Maria).
Et ces enfants qui avaient l’abondance à la maison, n’avaient pas droit de manger à leur faim. Ils devaient se contenter d’un pain dur, cuit dans de l’eau.
Maria souffrait et elle ne pouvait rien dire, car à la moindre remarque c’était des coups qui l’attendaient.
Alors son mari, fut invité par une grosse entreprise française à venir travailler en France. Mais son mari n’avait pas l’intention de se déplacer. L’entreprise lui offrait le double de son salaire plus des primes. Alors, il a tenté, et il s’installa à Valence.
Puis, comme il gagnait bien sa vie, il demanda que sa famille le rejoigne.
L’office d’immigration organisa la venue de sa famille.
Maria et ses enfants passèrent par Milan, là parcours de la quarantaine avant de rentrer en France. Ils s’installèrent un mois de janvier 1957, à Lyon.
Maria n’avait jamais vu le fleuve glacé. Il y avait une cuisinière à charbon, qui chauffait la maison.
Mais Maria était travailleuse, elle avait toujours un projet en tête. Alors la journée, elle travaillait les jardins des particuliers, allaient cueillir les cerises, les pommes, poires etc. selon les saisons. Elle allait à la montagne au-dessus du village ramasser du bois et des châtaignes pour économiser.
La nuit elle faisait des fleurs, pour une entreprise américaine.
Puis elle entra à l’usine de cartonnage, elle se levait à 4 heures du matin, traversait le pont de la Saône pour prendre son bus, elle amenait du pain, un peu de saucisson ce qui restait de la veille. Tout ceci, pour ne pas à avoir payer la cantine et faire des économies.
Elle revenait à 5 heures du soir, s’occupait des courses, allait chercher sa fille à la gare, faisait les jardins, puis un particulier lui a loué le sien.
Mais encore une fois, son projet tombe à l’eau. Tout ce qu’elle mettait de côté, elle ne pouvait atteindre ses objectifs. Maria subit une grosse intervention chirurgicale, dans sa solitude, elle dû gérer le quotidien et plaçât sa dernière chez sa marraine.
Elle n’a pas eu le temps de la convalescence, qu’elle repartie à l’usine, mais elle était épuisée, et les ligaments de son annulaire fut sectionné dans la machine de presse. Elle aurait pu sauver son doigt , mais les médecins ont préféré sauver l’alliance que son doigt.
Au bout de quelques jours, elle repartit à l’usine, plus elle travaillait à la pièce, plus elle pouvait gagner de l’argent. Au dépend de sa santé. Et une autre fois, sous les fers des chirurgiens, un gloître et pas très bon, le diagnostique était réservé. Elle s’en sortie.
Et dès qu’elle put travailler, elle s’en alla devant sa presse.
Son argent servit pour réparer la maison en Italie, les voyages de son mari qui avait sa mère malade.
En fait cette pauvre femme travaillait pour les autres et enrichir les autres. Elle ne le supportait pas et bien des fois des scènes éclatèrent entre le mari et la femme.
Et profitant de leur venue en France, sa belle-sœur a eu la belle idée de falsifié des documents de la propriété. Sa belle-mère qui ne savait ni lire, ni écrire par une croix certifiait donné un terrain qui lui appartenait de droit depuis 1930.
Sauf que ce terrain était la propriété de Maria. Alors vous imaginez la suite, cette femme immonde construit une maison sur la propriété de Maria, profita de son absence pour stocker des cercueils que son mari fabriquait. Et tous les frais de réparations que Maria et son mari firent chaque année , en fait toutes ses économies servaient dans une maison qui lui appartenait seulement sur le papier. Et par la suite même plus sur le papier.
Et puis sa belle-mère rendit l’âme. Alors, s’engageait des procès entre frère et sœur, mais le mari de Maria n’a jamais gagné un procès. Car hélas ! Les faux témoignages, les faux et usages de faux, la pernicieuse elle savait faire. Et malgré l’évidence Maria recevait des coups.
Le beau-père de Maria resta seul, et prenait parti pour sa belle-fille.
Maria et son mari décidèrent d’acheter un bien en France, payer un loyer c’était de l’argent gaspillé pour Maria.
Alors ils trouvèrent une maison à restaurer. Ils contractèrent un crédit auprès de la banque. Et achetèrent la maison. Voilà il fallait faire vite, car ils ne pouvaient se permettent de payer des mensualités du prêt et le loyer de la maison.
Maria travaillait à l’usine le jour, et rejoignait son mari le soir pour restaurer cette maison. Elle montait des sacs de ciment, des moellons sur sa tête.  Leur fils leur donnait un coup de main quand il revenait de déplacement, de Nantua.
Le mari de Maria entre temps changea d’entreprise, car on lui proposa un poste chef de chantier. Et avec la débrouille, il put avoir des matériaux moins chers, des portes des fenêtres, par l’entreprise il achetait le sable, les moellons, tout était à faire dans cette maison de pierre jaune et l’intérieur de paille. Mais lui aussi, il était toujours en déplacement.
Malgré cela, il était difficile de finir le mois. Et le frigo était vide.
Alors, un samedi soir, Maria rêva son père, et il lui donna des numéros. Chaque dimanche, Maria allait à la messe, elle était pieuse.
Et en revenant, elle dit à son fils, il me reste 5 francs (ancien), où j’achète la viande hachée pour midi, où tu vas me jouer les numéros au tiercé que ton grand père m’a donné. Alors que dans sa tête, sonnait les numéros, elle n’en peut plus. Elle dit tanpis pour la quantité de viande, il faut que je joue ces numéros. Je n’en peux plus d’entendre ces numéros.et à l’arrivée des chevaux l’après-midi, ces numéros joués, sont arrivés dans l’ordre.
Alors Maria, se débarrassa du crédit de la maison, et acheta le coulé du plancher.
Au mois d’août, comme toutes les années aux vacances, ils descendirent au village. Et comme d’habitude, la même constatation, intérieur dégradé (carrelages, portes, fenêtre etc) par les cercueils stockés, les meubles aussi, puisque sa belle-sœur vendait des meubles. Et aussi par le petit fils de sa belle-sœur, qui avait un enfant avec des problèmes psychologiques. Et le vieil homme vivait dans une maison insalubre.
Et surprise, celle-ci dit à Maria, tu gardes mon père il me donne trop de travail et je n’ai pas le temps de m’occuper de lui. Pauvre homme ! Il n’avait pas besoin d’être gardé, il avait toute sa tête et était indépendant. Non l’objectif de cette pernicieuse c’est qu’avec son père elle ne pouvait pas s’accaparer des biens de Maria et de son mari.
A contre cœur, le pauvre vieux, fut obligé de quitter sa maison, ses habitudes et émigré dans un pays qu’il n’avait pas fait projet de venir.
Il était pensionné de guerre, grâce à Maria qui avait fait les démarches auprès des autorités militaires italiennes, il fut décoré aussi de la médaille d’or et chevalier. (Les médailles ont été volées, il n’y a pas longtemps, il reste le certificat), l’argent qui va avec sa fille s’en est occupée, et il avait sa pension d’agriculteur.
Il demanda à Maria de faire suivre sa pension puisque il était obligé de vivre dans ce pays. Maria lui promit. A son arrivée, elle l’emmena au consulat qui fait toutes les démarches administratives. Mais il fallut 6 mois avant que le versement fut fait. Le beau père entre temps était à la charge de son fils et de sa belle fille, bien qu’il ne demandait rien, mais il regrettait sa maison, son feu de cheminée, sa terre.
Et il a fallu qu’une sœur à ce bon vieux décède avec son mari d’un accident de la route. Ils n’avaient pas d’enfants et les héritiers étaient les frères et sœurs du beau-père à Maria. Un beau soir, quelqu’un sonne à la porte de Maria, et surprise qui était là ?
Sa belle-sœur. Elle lui ordonna de payer le taxi sans savoir si elle avait l’argent pour le régler. Et le lendemain ramena son père au village.
Non pas parce que son père lui manquait, mais les héritiers ne pouvaient pas avoir accès à la succession sans la signature du beau-père à Maria.
De plus, comme ces pauvres accidentés étaient ambulants, toute la marchandise avec la lambrette fut garée dans la maison de Maria. Imaginez cette femme dans l’état où elle devait être !
La manipulatrice pernicieuse prit tout l’argent de son père. Et hélas ! On dirait que les gens fourbes manipulateurs, pervers, malhonnête, voleurs ont une chance inouïe. Tout leur réussit !
Sauf que, le beau-père fut rentré en janvier 1970, en mars il eut un grave accident, pendant qu’il revenait doucement vers la maison il fut percuter par une voiture qui le fit voltiger à quelque mètres.
Ce pauvre homme n’a pas été soigné par les blessures qu’il eut mais simplement plâtré à une jambe (celle dont il s’est blessé pendant la guerre), pourquoi ? Parce que le conducteur était en tort, et qu’il n’avait pas d’assurance et qu’il était parent à la femme de la belle fille de la pernicieuse.
Lorsque le beau-père de Maria rentra en janvier 1970, Maria alla au consulat pour faire le retour du paiement de la pension.
Mais cet argent de la pension, devinez dans quelle poche il a atterrit ?
Alors le beau-père mal soigné, est décédé, que ce soit la belle mère et le beau-père tous les frais d’obsèques de postes au cimetière a été à la charge de Maria.
D’ailleurs, Maria n’a jamais cessé de payer leur lumière au cimetière chaque année, de changer les fleurs, de faire dire des messes à la Toussaint, et aux fêtes selon sa culture.
Mais tout cela ne s’arrête pas là, pour Maria, son fils fiancé à une fille du village depuis des années, rompit et épousa une française. Un coup pour Maria, qui aimait beaucoup sa première belle fille et qui était l’espoir qu’elle repartirait avec sa famille en Italie.
Une parente à son mari, demanda de lui construire une maison de l’autre côté du Garigliano. Mais Maria n’était pas d’accord, que son mari laisse son travail en France. Ce n’était pas ses projets qu’ils avaient fait ensemble, mais il se trouve que cette parente était la belle mère à sa fille, alors une fine manipulatrice aussi celle-ci, fit démissionner son mari pour qu’il construise la maison qui devait revenir à sa fille. Et de plus , réparer des appartements qu’elle avait au village.
Tout ceci pour sa fille, les hommes ne comprennent rien à la manipulation féminine, et comme tout bon père, pour le bien de sa fille il resta loin du foyer pendant 6 mois. Maria devait travailler plus dur, car elle avait les frais et les charges de la maison en France et celle d’Italie et sa famille.
Elle n’a pas eu son mot à dire. Comme d’habitude tout lui était imposé. Tout comme le mariage de son aînée qu’elle désapprouvait totalement. Là aussi, elle a eu la famille à dos, la pernicieuse qui avait arrangé ce mariage.
Sa fille gagnait bien sa vie en France, elle avait un métier qui lui rapportait un joli salaire et elle avait un penchant pour un peintre. Mais, avant les années 1968, le mari de la pernicieuse vint travailler en France, il n’avait pas de travail (il était menuisier), après un séjour de presque de deux ans en Allemagne, il s’en était tous revenus au pays.
Sauf que, lorsqu’il entendit que Maria et sa famille s’en sortait bien (pensant que l’argent tombait du ciel), il fit des pieds et des mains pour venir. Pas facile de vivre dans un trois pièces à 7 personnes. Et oui Maria avait quatre enfants et un de plus. Et tous les frais à sa charge. Enfin comme elle ne pouvait dire mot.
Cet homme aussi pernicieux et jaloux que sa femme, n’accepte pas que la fille de Maria qui travaillait à la pièce comme couturière, gagnait autant d’argent, que lui. Il était écœuré. Et il en fit la remarque à la fille de Maria et sermonna Maria . Il resta peu car c’était trop dur et exigeant, et lui c’était magouille.
Et de ce jour-là ils ont monté l’histoire du mariage de la fille à Maria, mettant contre elle sa propre fille.
Entre temps la cadette, étudiait la haute coiffure en Italie et elle vivait avec ses grands-parents. Bien entendu, Maria finançait les études et la vie quotidienne, de sa fille. Là aussi elle gênait, ses cousins étaient jaloux d’elle, elle était semi fiancé avec un médecin. Cela n’arrangeait pas les projets de madame la pernicieuse, lorsque la cadette fut diplômée, pernicieuse monta un coup et renvoya la cadette en France.




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